Nous étions encore plus d'une trentaine malgré l'absence de nos Alsaciens, de Jérémy parti faire la Cédric Vasseur et de Frédéric et Guy partis à Sallaumines.

Au programme nous avions 2 brevets : Fleurbaix et Pérenchies. Nous partîmes tous ensemble et arrivés à Radinghem je tournai à droite direction le Mont Pinto pour rejoindre Pérenchies. Au final nous serons 16 à avoir fait ce choix et donc autant à avoir continué tout droit sur Fleurbaix.

Après l'inscription et la prise du café l'ensemble du groupe avait opté pour le 60 km en constituant 2 groupes, celui de David P. et Pascal L., considéré comme celui des costauds et le mien constitué de Jacques L. Serge N. et Daniel V.

Rapidement l'on prit la direction de Deulémont, Warneton, où l'on récupéra notre ami Adélino et ensuite Messines Kemmel. L'intérêt du parcours pour nous cyclos du jeudi fut que l'on emprunta une grande majorité de nos routes mais en sens inverse. Ceci fit énormément plaisir à Jacques et à chaque fois il prenait un malin plaisir à nous le faire remarquer. Au bout d'un moment, sous le ton de la plaisanterie je luis fis remarquer qu'il avait énormément progressé dans la reconnaissance du parcours. Jacques non sans humour me répondit que c'était peut-être suite à son opération du genou et qu'ils avaient peut-être profité d'injecter quelque chose au cerveau. Son commentaire nous fit tous éclater de rire et on apprécia l'humour et la bonne entente du groupe.

Au ravitaillement de Kemmel Serge prit la décision de nous quitter car il avait des obligations familiales. C'est ainsi à 4 que nous terminâmes le parcours en nous relayant et surtout en roulant à allure très constante.

A 4 km de l'arrivée Jacques annonça qu'il avait les 60 km au compteur et donc simula un arrêt mais ensuite il décida quand même de poursuivre la ballade avec nous.

 

A l'arrivée, agréable surprise, le groupe des costauds nous attendait et c'est ainsi qu'après avoir avalé notre sandwich nous repartîmes tous ensemble. Le début du retour se fit très lentement, chacun racontant ses petites histoires, ce qui me combla ainsi que Jacques.

Toutefois au fil des kilomètres l'allure augmenta à croire que certains avaient faim ou soif d'apéritif. Je me calais bien à l'abri au milieu du groupe et ma foi je réussis à maintenir la cadence et à rentrer ainsi que Jacques sur Wavrin avec tout le groupe.