Je devais être présent à 7h58, pour je ne sais quelle raison, j'arrive à 08h08.
Je décroche le vélo de la voiture en vitesse en me disant, il me reste encore 2 très petites minutes pour rejoindre Sébastien et voir d'autres ? (départ maxi à 08h10).
En décrochant le vélo, pas le temps de dire ouf, je vois passer Sébastien à vive allure à 08h08, même pas le temps de l’appeler (j'appris par la suite que Jean-Paul était juste devant). Direction inscription à l'arrache, départ 08h25 (beaucoup de monde et plus de Wavrinois, je pensais peut être voir David.H).
Pas le temps d'accrocher la plaque de cadre, trop de retard. La chasse commence, les 10 premiers kilomètres à plus de 
La chasse reprend et je décide de partir sur le 50-55km , single, terril, single , terril, j'arrive enfin au deuxième ravito (43 km) , encore un très beau ravito. Les efforts sont enfin récompensés, avec 20.2 de moyenne je suis enfin revenu sur Sébastien.
On repart, fini de rouler seul, sauf que, plus beaucoup de force comparé à Sébastien qui est encore bien frais et qui me mit des vents du diable sur les 10 derniers km.....
Un petit mot sur la Station de lavage, un nombre hallucinant de tuyaux (première fois que je vois cela sur un brevet).
Moralité arriver à l'heure. ?
Ajout de Jean-Paul :
Pendant cette chasse effrénée j'avais accompagné Sébastien jusqu'au terril de Lallaing, lieu de bifurcation du 38 km et des distances supérieures. Après avoir eu très froid sur les premiers kilomètres la température monta avec les difficultés. On enchaîna singles, montées, descentes et j'avoue que cela ne me déplut guère. Arrivé au premier ravitaillement j'eus le temps d'apprécier le pudding et les friandises tout en compagnie de très beaux cygnes, c'est certainement un gros avantage du VTT d'être très proche de la nature.
Une fois remonté sur mon engin je prenais la direction du terril de Rieulay où une fois de plus singles, montées et descentes nous étaient proposés. A noter qu'avec les températures très fraîches du matin le sol restait très dur ce qui nous permettait de rouler à bonne allure malgré les difficultés. Sorti du terril, encore quelques kilomètres de chemins pour arriver au second ravitaillement où saucisses, merguez et soupe nous attendaient.
La fin du parcours, c'est à dire les 12 derniers kilomètres furent nettement moins intéressants car on retrouvait de longues lignes droites à travers champs et surtout le soleil commençant à chauffer, l'état des chemins se dégradait à grande vitesse et la boue collait de plus en plus à nos roues.
C'est vers 10h30 que j'arrivai au lavage où j'eus tout le temps de bien nettoyer mon VTT et ensuite de me changer sous un beau soleil. Je me rendis à la salle pour récupérer mon traditionnel sandwich et je vis arriver le groupe cyclo de
Alors que mes compagnons cyclos s'apprêtaient à repartir en vélo je me transformai en marchand d'oignons récupérant les sacs des copains pour leur remettre le lendemain au local.